Dans le
cadre du débat d’orientation budgétaire, institué devant les deux chambres du
Parlement depuis 2019, le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat,
Moussa Sanogo était devant la commission des affaires économiques et
financières du Sénat, à la Fondation Félix Houphouët-Boigny à Yamoussoukro ce
jeudi 30 juin 2022.
La session
qui s’est déroulée en présence du président du Sénat, Ahoussou Jeannot, et de
fonctionnaires des Sénats français et allemand lui a permis de présenter les
orientations budgétaires qui préfigurent les priorités qui seront affichées
dans le budget de l’Etat sur la période indiquée. Il s’est agi de définir la
trajectoire budgétaire pour les trois années à venir, qui s’inscrit elle-même
dans le plan national de développement (PND) 2021-2025.
Ces
informations sont contenues dans le Document d’orientation budgétaire et
économique pluriannuelle (DPBEF) 2023-2025, dont l’émissaire du gouvernement a
présenté les grandes lignes. Il en ressort que le projet de budget de l’Etat
pour l’année 2023 s’établit à 11.272,1 milliards Fcfa, en hausse de 13,8% par
rapport au budget 2022. Le montant devrait atteindre 12.876,7 milliards Fcfa en
2024 et 13.513,3 milliards Fcfa en 2025. « La politique budgétaire de l’Etat
sur la période sera principalement orientée, en matière de recettes, vers la
consolidation de l’efficacité du recouvrement des recettes intérieures
(recettes fiscales, recettes non fiscales, ressources de trésorerie hors
emprunts-programmes et emprunts-projets) estimées à 80% des ressources », a
déclaré Moussa Sanogo.
Les
recettes fiscales budgétaires devraient s’établir à 5222,4 milliards Fcfa en
2023, puis à 5756,5 milliards Fcfa en 2024 et à 6326,7 milliards Fcfa en
2025. Les recettes non fiscales sont attendues à 108,1 milliards Fcfa en 2023,
puis à 114,6 milliards Fcfa en 2024 et à 121,4 milliards Fcfa en 2025.
Mais
au-delà des chiffres propres à l’exercice 2023 et à la période allant jusqu’à
2025, le DOB a servi de cadre aux élus pour exprimer leurs avis sur les grandes
lignes du budget de l’Etat sur la période 2023-2025 proposé par l’exécutif.
L’objectif était de recueillir leurs observations et préoccupations, afin de
voir comment y apporter des réponses au cours des prochaines années.
Les
Sénateurs ont soulevé des préoccupations liées à la sécurité, à
l’éducation-formation, aux dépenses pro-pauvres, aux infrastructures, à la
gestion de la dette, l’inflation, etc. Le ministre a rassuré que ces
questions constituent des priorités pour l’Etat.
Sur la
question des effets persistants de la crise de Covid-19 et de l’inflation à
cause de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, le ministre a affirmé que « le
gouvernement s’organise sur ces questions pour prendre des mesures en vue de
faire en sorte que les évolutions défavorables qui peuvent être notées, il y
soit trouvé des réponses adéquates. » Cela s’impose, explique-t-il, pour
permettre au pays de poursuivre sa marche vers le développement.
Il a pour
finir affirmer que la bonne gestion de finances publiques est une réalité et
appelé les Ivoiriens à continuer à faire confiance au gouvernement en place. «
Si on en juge par les rapports produits par les organismes internationaux, par
différents organismes de contrôle ou encore les institutions supérieures de
contrôle, le résultat est favorable et nous nous en réjouissons », conclut le
ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat.
La session
qui s’est déroulée en présence du président du Sénat, Ahoussou Jeannot, et de
fonctionnaires des Sénats français et allemand lui a permis de présenter les
orientations budgétaires qui préfigurent les priorités qui seront affichées
dans le budget de l’Etat sur la période indiquée. Il s’est agi de définir la
trajectoire budgétaire pour les trois années à venir, qui s’inscrit elle-même
dans le plan national de développement (PND) 2021-2025.
Ces
informations sont contenues dans le Document d’orientation budgétaire et
économique pluriannuelle (DPBEF) 2023-2025, dont l’émissaire du gouvernement a
présenté les grandes lignes. Il en ressort que le projet de budget de l’Etat
pour l’année 2023 s’établit à 11.272,1 milliards Fcfa, en hausse de 13,8% par
rapport au budget 2022. Le montant devrait atteindre 12.876,7 milliards Fcfa en
2024 et 13.513,3 milliards Fcfa en 2025. « La politique budgétaire de l’Etat
sur la période sera principalement orientée, en matière de recettes, vers la
consolidation de l’efficacité du recouvrement des recettes intérieures
(recettes fiscales, recettes non fiscales, ressources de trésorerie hors
emprunts-programmes et emprunts-projets) estimées à 80% des ressources », a
déclaré Moussa Sanogo.
Les
recettes fiscales budgétaires devraient s’établir à 5222,4 milliards Fcfa en
2023, puis à 5756,5 milliards Fcfa en 2024 et à 6326,7 milliards Fcfa en
2025. Les recettes non fiscales sont attendues à 108,1 milliards Fcfa en 2023,
puis à 114,6 milliards Fcfa en 2024 et à 121,4 milliards Fcfa en 2025.
Mais
au-delà des chiffres propres à l’exercice 2023 et à la période allant jusqu’à
2025, le DOB a servi de cadre aux élus pour exprimer leurs avis sur les grandes
lignes du budget de l’Etat sur la période 2023-2025 proposé par l’exécutif.
L’objectif était de recueillir leurs observations et préoccupations, afin de
voir comment y apporter des réponses au cours des prochaines années.
Les
Sénateurs ont soulevé des préoccupations liées à la sécurité, à
l’éducation-formation, aux dépenses pro-pauvres, aux infrastructures, à la
gestion de la dette, l’inflation, etc. Le ministre a rassuré que ces
questions constituent des priorités pour l’Etat.
Sur la
question des effets persistants de la crise de Covid-19 et de l’inflation à
cause de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, le ministre a affirmé que « le
gouvernement s’organise sur ces questions pour prendre des mesures en vue de
faire en sorte que les évolutions défavorables qui peuvent être notées, il y
soit trouvé des réponses adéquates. » Cela s’impose, explique-t-il, pour
permettre au pays de poursuivre sa marche vers le développement.
Il a pour
finir affirmer que la bonne gestion de finances publiques est une réalité et
appelé les Ivoiriens à continuer à faire confiance au gouvernement en place. «
Si on en juge par les rapports produits par les organismes internationaux, par
différents organismes de contrôle ou encore les institutions supérieures de
contrôle, le résultat est favorable et nous nous en réjouissons », conclut le
ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat.
La session
qui s’est déroulée en présence du président du Sénat, Ahoussou Jeannot, et de
fonctionnaires des Sénats français et allemand lui a permis de présenter les
orientations budgétaires qui préfigurent les priorités qui seront affichées
dans le budget de l’Etat sur la période indiquée. Il s’est agi de définir la
trajectoire budgétaire pour les trois années à venir, qui s’inscrit elle-même
dans le plan national de développement (PND) 2021-2025.
Ces
informations sont contenues dans le Document d’orientation budgétaire et
économique pluriannuelle (DPBEF) 2023-2025, dont l’émissaire du gouvernement a
présenté les grandes lignes. Il en ressort que le projet de budget de l’Etat
pour l’année 2023 s’établit à 11.272,1 milliards Fcfa, en hausse de 13,8% par
rapport au budget 2022. Le montant devrait atteindre 12.876,7 milliards Fcfa en
2024 et 13.513,3 milliards Fcfa en 2025. « La politique budgétaire de l’Etat
sur la période sera principalement orientée, en matière de recettes, vers la
consolidation de l’efficacité du recouvrement des recettes intérieures
(recettes fiscales, recettes non fiscales, ressources de trésorerie hors
emprunts-programmes et emprunts-projets) estimées à 80% des ressources », a
déclaré Moussa Sanogo.
Les
recettes fiscales budgétaires devraient s’établir à 5222,4 milliards Fcfa en
2023, puis à 5756,5 milliards Fcfa en 2024 et à 6326,7 milliards Fcfa en
2025. Les recettes non fiscales sont attendues à 108,1 milliards Fcfa en 2023,
puis à 114,6 milliards Fcfa en 2024 et à 121,4 milliards Fcfa en 2025.
Mais
au-delà des chiffres propres à l’exercice 2023 et à la période allant jusqu’à
2025, le DOB a servi de cadre aux élus pour exprimer leurs avis sur les grandes
lignes du budget de l’Etat sur la période 2023-2025 proposé par l’exécutif.
L’objectif était de recueillir leurs observations et préoccupations, afin de
voir comment y apporter des réponses au cours des prochaines années.
Les
Sénateurs ont soulevé des préoccupations liées à la sécurité, à
l’éducation-formation, aux dépenses pro-pauvres, aux infrastructures, à la
gestion de la dette, l’inflation, etc. Le ministre a rassuré que ces
questions constituent des priorités pour l’Etat.
Sur la
question des effets persistants de la crise de Covid-19 et de l’inflation à
cause de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, le ministre a affirmé que « le
gouvernement s’organise sur ces questions pour prendre des mesures en vue de
faire en sorte que les évolutions défavorables qui peuvent être notées, il y
soit trouvé des réponses adéquates. » Cela s’impose, explique-t-il, pour
permettre au pays de poursuivre sa marche vers le développement.
Il a pour
finir affirmer que la bonne gestion de finances publiques est une réalité et
appelé les Ivoiriens à continuer à faire confiance au gouvernement en place. «
Si on en juge par les rapports produits par les organismes internationaux, par
différents organismes de contrôle ou encore les institutions supérieures de
contrôle, le résultat est favorable et nous nous en réjouissons », conclut le
ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat.
La session
qui s’est déroulée en présence du président du Sénat, Ahoussou Jeannot, et de
fonctionnaires des Sénats français et allemand lui a permis de présenter les
orientations budgétaires qui préfigurent les priorités qui seront affichées
dans le budget de l’Etat sur la période indiquée. Il s’est agi de définir la
trajectoire budgétaire pour les trois années à venir, qui s’inscrit elle-même
dans le plan national de développement (PND) 2021-2025.
Ces
informations sont contenues dans le Document d’orientation budgétaire et
économique pluriannuelle (DPBEF) 2023-2025, dont l’émissaire du gouvernement a
présenté les grandes lignes. Il en ressort que le projet de budget de l’Etat
pour l’année 2023 s’établit à 11.272,1 milliards Fcfa, en hausse de 13,8% par
rapport au budget 2022. Le montant devrait atteindre 12.876,7 milliards Fcfa en
2024 et 13.513,3 milliards Fcfa en 2025. « La politique budgétaire de l’Etat
sur la période sera principalement orientée, en matière de recettes, vers la
consolidation de l’efficacité du recouvrement des recettes intérieures
(recettes fiscales, recettes non fiscales, ressources de trésorerie hors
emprunts-programmes et emprunts-projets) estimées à 80% des ressources », a
déclaré Moussa Sanogo.
Les
recettes fiscales budgétaires devraient s’établir à 5222,4 milliards Fcfa en
2023, puis à 5756,5 milliards Fcfa en 2024 et à 6326,7 milliards Fcfa en
2025. Les recettes non fiscales sont attendues à 108,1 milliards Fcfa en 2023,
puis à 114,6 milliards Fcfa en 2024 et à 121,4 milliards Fcfa en 2025.
Mais
au-delà des chiffres propres à l’exercice 2023 et à la période allant jusqu’à
2025, le DOB a servi de cadre aux élus pour exprimer leurs avis sur les grandes
lignes du budget de l’Etat sur la période 2023-2025 proposé par l’exécutif.
L’objectif était de recueillir leurs observations et préoccupations, afin de
voir comment y apporter des réponses au cours des prochaines années.
Les
Sénateurs ont soulevé des préoccupations liées à la sécurité, à
l’éducation-formation, aux dépenses pro-pauvres, aux infrastructures, à la
gestion de la dette, l’inflation, etc. Le ministre a rassuré que ces
questions constituent des priorités pour l’Etat.
Sur la
question des effets persistants de la crise de Covid-19 et de l’inflation à
cause de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, le ministre a affirmé que « le
gouvernement s’organise sur ces questions pour prendre des mesures en vue de
faire en sorte que les évolutions défavorables qui peuvent être notées, il y
soit trouvé des réponses adéquates. » Cela s’impose, explique-t-il, pour
permettre au pays de poursuivre sa marche vers le développement.
Il a pour
finir affirmer que la bonne gestion de finances publiques est une réalité et
appelé les Ivoiriens à continuer à faire confiance au gouvernement en place. «
Si on en juge par les rapports produits par les organismes internationaux, par
différents organismes de contrôle ou encore les institutions supérieures de
contrôle, le résultat est favorable et nous nous en réjouissons », conclut le
ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat.